6.21.2012

Ya des choses qu'on explique pas

Vous connaissez peut-être cette impression que cette personne là, faut pas la lâcher! Qu'il s'agisse d'une fille, ou d'un garçon, c'est cette petite impression qui fait qu'on a envie d'aller discuter, d'en savoir plus. Même si ce n'est que ce brin de curiosité naturel qui nous pousse a voir si on avait un bon pressentiment..

Et là, on s'approche, on tente un regard, on esquive un pas, un sourire, on débute une discussion, on s'apprend. On passe une bonne soirée, on s'échange les numéros.

A peine rentrés chacun chez soi, on s'envoie un texto, avec les yeux d'un enfant de 6 ans qui ouvre ses cadeaux a noël, on est heureux, on sait pas pourquoi, tout est beau autour de nous.

Dès que le gsm sonne, on l'arrache à sa paisible existence sur le bureau, tout sourire, on lit les messages, on en rit, on en rougit, on sait que c'est le début de quelque chose, notre infaillible intuition à frappé !

Pendant des jours, on s'échange des messages, on pense à l'autre tout le temps, on à quelque chose qui fait boum au fond de soi.

Et puis on se revoit, on se saute dans les bras, on ressent des choses totalement inconnues, des papillons dans le ventre, des fourmis le long du dos, et pourtant ce n'est que le début!

C'est le début de quelque chose de nouveau, c'est intense, tout va très vite, on a jamais vu ça, ressenti ça..l'absence de l'autre est une torture, les moments ensemble sont beaucoup trop courts, on se sent à moitié vide quand l'autre n'est pas là, on à envie de rien, juste d'être auprès de lui, notre vie n'a aucune saveur s'il n'est pas là à nos cotés..

On l'explique à sa maman, et là elle nous cloue le bec : 

" Mais tu sais chérie, ce que tu as trouvé là, c'est l'amour, le vrai "


1.16.2012



Personne n'a jamais tout a fait tort.


Même une horloge arrêtée donne l'heure juste deux fois par jour.


1.03.2012

Dans la famille " la vie n'est jamais comme dans les films"

Aujourd'hui, jour béni (ou pas) je finis le boulot à 19h50, je me dirige vers l’arrêt de bus ou m'attendent mes deux potes, j'ai nommé "38 minutes d'attente à un poteau" et "y a un vent à 100km/h" (heureusement pour moi, "y drache comme chien qui pisse" était rentré chez lui)..

Arrivée le sourire aux lèvres (hum, oui, bref..) à ce foutu arrêt, perdu sur une route perdue elle aussi, et siégeant devant la caserne des pompiers (et des beaux hein, pas des bidochons! D'ailleurs ils sont tellement beaux qu'on aurait presque envie de devenir pyromane expret pour les voir tous les jours) je me mis à fantasmer quelque peu..

Je m'imaginais deja, moi, transie de froid, a cet arrêt de bus paumé (et sans abri cela va de soi..), et soudain, une moto/cabrio/belle auto (rayez les mentions inutiles) qui s’arrête à ma hauteur, et un bel homme me dire "Mademoiselle (pas mamoizelle hein, faut du romantisme! ), grimpez, je vous ramène chez vous..! Et moi de lui répondre : Grimper? sur vous? dans la voiture? au 7ième ciel? les trois? (censuré pour les oreilles chastes)

Et nous filerions jusqu'à chez moi, ou je lui proposerais gentillement, et sans aucune arrière pensée, de venir chez moi boire quelque chose en remerciement. De là démarrerait une Idylle avec un grand I, une vraie histoire comme a Hollywood, on se découvrirait, on se trouverait milles points communs, on se marierait et on aurait beaucoup d'enfants..

Arrivée là dans mes pensées, le bus à déboulé.. et mon Apollon n'est jamais passé..et après le bus, je suis encore rentrée a pied et seule..

Bref, la vie n'est jamais comme dans les films..